Fabien Roussel occupera le deuxième panneau électoral. Mais comment diable le pudibond PCF en est-il arrivé à engager « un play-boy de profession » ?
Evidemment, que le communisme français soit représenté par un garçon coiffeur… peut laisser songeur.
Quel genre d’électeur se portera-il sur ce candidat au vu de son portrait en rose et mauve ?
Personne, et au contraire, les ex-électeurs communistes semblent déserter. Car le premier Parti de France, qui réunit au XXème siècle jusqu’à 27 % de voix, n’en fédère plus que le dixième.
2,5 % de votants vont surmonter l’absence manifeste de crédibilité de ce candidat pour mettre un peu de rouge dans leur voix.
C’est pitié… mais la réalité est sans pitié.
Aucun truc visuel, verbal, graphique ( en 2018 une étoile de BD est venue remplacer la faucille et le marteau ), aucun artifice psychologique ne ressuscitera le Parti.
Dimanche 10 avril, Fabien Roussel pourra retourner tranquillement à son barbecue.
NB. Pour réfléchir ensemble à sa dernière pirouette, le slogan « Les jours heureux » présent sur son affiche, < click here >