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L’affiche de Yannick Jadot rompt les codes des écologistes. Il apparaît non comme un homme « déconstruit » mais comme un chef de guerre.

Anne Hidalgo propose une affiche électorale d’une facture absolument classique pour un candidat socialiste. Changer, sans nous faire peur. Ça peut marcher ?

Jean-Luc Mélenchon pose, regard scrutant le lointain des lendemains qui chantent. Un autre monde serait possible, pour peu que nous l’élisions ?

Étrange affiche, sereine, en vert et bleu, pour le seul candidat qui enflamme des milliers de supporters en campagne. Que nous dit-elle ?

La cinquième affiche électorale est la seule qui présentera aux électeurs un candidat… sans faire apparaître son nom de famille. Un oubli ?

Jean Lassalle sollicite nos suffrages pour la deuxième fois. Pourtant, impossible de mémoriser la moindre de ses propositions. Et si c’était voulu ?

Le président-candidat est en tête dans les sondages. Ses communicants vont s’appliquer à concocter une affiche la moins polémique possible. Mission réussie ?

Fabien Roussel occupera le deuxième panneau électoral. Mais comment diable le pudibond PCF en est-il arrivé à engager « un play-boy de profession » ?

Sur le premier panneau de votre bureau de vote, le plus à gauche, figurera cette affiche. Que nous raconte-t-elle de l’offre trotskyste ? De

L’affiche officielle de Fabien Roussel à l’élection présidentielle porte un curieux slogan. « la France des Jours heureux », ça renvoie à quoi exactement ?

Des salaires décents pour les travailleurs, telle est la priorité d’un candidat du Parti Communiste Français à la présidentielle. Alors… votez Roussel ?

L’hebdomadaire Marianne titre sur la position de super favori du candidat Macron, en proposant une explication radicale : les autres candidats sont nuls.